Lumière sur Sophie — Un rebond après un burn-out
Bonjour ! Nous voici de retour avec un nouvel article « Lumière » ! Aujourd’hui, nous vous proposons de faire la rencontre de Sophie. Après un burn-out éprouvant, Sophie a fait la rencontre des cosmétiques naturels à travers le 0 déchet. Cela a été pour elle un véritable coup de cœur, qui l’a menée à vivre plus sereinement avec sa peau. Une peau qui montrait malheureusement des signes visibles liés à son anxiété et à sa fatigue. Aujourd’hui, Sophie connaît un rebond dans sa vie. Et comme vous pourrez le voir, sa routine de soins n’est pas tout à fait innocente là-dedans !
Peux-tu te présenter ?
Je m’appelle Sophie, j’habite à Lille et j’ai 32 ans. À la base, je suis infirmière de profession. Mais j’ai traversé une phase de burn-out ces trois dernières années. La crise du coronavirus n’a bien sûr pas amélioré les choses, puisque j’étais infirmière de réanimation.
Après cela, j’ai commencé une réorientation professionnelle. Je suis toujours infirmière, mais en recherches cliniques. Donc je suis sortie des soins, même si je travaille toujours à l’hôpital.
Ce qui a été compliqué, c’est que j’étais déjà fragile avec mon burn-out. Il aurait fallu que je quitte le poste que j’occupais à l’époque, bien avant que la COVID n’arrive… Donc ça a été pour moi un gros tremblement de terre dans ma vie professionnelle.
Quel est ton parcours vis-à-vis des cosmétiques de manière générale ?
Je pense que ça remonte à loin, je n’ai pas forcément de date précise en tête. J’ai utilisé beaucoup de cosmétiques quand j’étais plus jeune.
J’étais partie sur certaines marques parce qu’elles étaient avantageuses au niveau des prix. Et puis, c’était les marques que mes amies utilisaient aussi.
Je me rendais dans de grandes enseignes de parfumerie. Puis, je suis passée sur des produits de grandes surfaces, autant pour les produits de soins pour la peau que pour le maquillage.
C’était pratique : j’achetais généralement mon maquillage là où j’achetais mes crèmes pour le visage.
Puis, au début de ma phase de burn-out, j’ai commencé à réfléchir à ma posture sur Terre. Le 0 déchet est arrivé très vite dans mon esprit.
Ça m’a semblé assez naturel de faire ces gestes pour la planète, mais aussi pour moi. Je le faisais pour me sentir mieux et prendre soin de moi.
Comment ça s’est traduit, du coup ? C’est là que tu as changé pour te tourner vers les cosmétiques naturels ?
J’ai commencé à suivre des ateliers pour apprendre à fabriquer mes propres cosmétiques. Crèmes, eaux micellaires, produits de pharmacie… Que ce soit à cause des hormones ou à cause de mes angoisses, j’ai toujours eu une peau à problèmes avec souvent des boutons et des imperfections.
C’était un cercle vicieux : plus j’angoissais, plus je touchais à ma peau, plus j’avais des problèmes d’imperfections… Ce qu’il ne faut pas faire, normalement. Avec le 0 déchet, je suis partie dans les cosmétiques naturels.
Mais il faut être honnête : je suis très admirative des gens qui continuent à faire leurs propres produits. Ça prend du temps, il ne faut pas se tromper sur les dosages au risque d’aggraver les problèmes de peau…
Du coup, j’avoue que je n’étais pas très à l’aise là-dessus. Finalement, j’ai commencé à acheter des produits dans quelques petits magasins près de chez moi, mais je n’étais pas convaincue.
Comment as-tu découvert La Canopée ?
C’est une collègue de travail qui m’a dit un jour que ma peau lui faisait penser à celle de sa fille. Elle m’explique qu’elle est passée à La Canopée. Ne connaissant pas la marque, je lui demande plus d’informations.
Elle me redirige vers le site internet. C’était vers 2018 à peu près. Je commence à parcourir les solutions, les principes de fabrications, les composants… Je finis par m’inscrire au diagnostic de peau, sachant qu’il y avait beaucoup d’attente.
Je commence néanmoins à suivre la marque sur Instagram, puis ça commence à me trotter en tête. Une marque française, vegan, qui propose des produits naturels…
Le diagnostic de peau tombe et j’ai effectivement une peau à imperfections. Je décide de m’offrir un kit pour essayer les produits.
Gros coup de cœur ! J’aime le packaging, la façon dont les produits sont emballés, la petite pochette, les échantillons… J’essaie les produits et là, à nouveau, je tombe sous le charme. L’odeur des produits est présente sans être trop prononcée.
Depuis, je fais des commandes tous les 3 à 6 mois. Je n’utilise plus que ça. Il n’y a plus qu’une seule crème que j’utilise pour les taches brunes, avec un indice solaire, qui n’est pas de chez La Canopée.
Verdict ?
En fait, je n’ai plus du tout la même relation avec les cosmétiques qu’avant. Ça a été tout un cheminement, mais aujourd’hui je suis assez en phase quand j’applique les produits sur ma peau.
Je sais que je ne me fais pas de mal et je ressens beaucoup moins le besoin de me maquiller, d’ailleurs !
Un jour, mon médecin m’a dit « Vous savez Sophie, la peau c’est le reflet de l’état intérieur ». Et oui, ma peau me montrait que ça n’allait pas du tout à l’intérieur par l’aspect qu’elle avait à l’extérieur.
Aujourd’hui encore, quand j’ai une petite angoisse, cela transparaît souvent sur ma peau par un petit bouton.
Bien sûr, il faut être honnête, ce n’est pas une solution miracle. Mais ça m’a donné de l’espoir, parce que j’ai vraiment vu une amélioration sur le long terme.
Quel serait ton produit phare de La Canopée ?
La lotion perfection : si je ne devais en garder qu’un, ce serait celui-ci, même si j’ai une hésitation avec la gelée noire.
Le top 1 reste la lotion perfection parce que je n’avais jamais vu ça auparavant chez une autre marque. La lotion s’applique en dessous de la crème pour venir traiter cette peau à problèmes par un traitement adapté.
J’en ai toujours un flacon d’avance, pour être sûre de ne pas en manquer !
Un mot pour la fin ?
La Canopée m’a aidée, au-delà de mes problèmes de peau. Par rapport à cette période de burn-out qui a été très longue et intense… Ça a vraiment joué. Cette routine de soin a été l’une des béquilles qui m’ont permis de reprendre confiance en moi.
Le burn-out est venu bouleverser mes valeurs, aussi bien sur mon mental que mon physique. C’est aussi pour ça que j’ai beaucoup d’affects avec cette marque. Quand on ne va pas bien, on a tendance à se négliger et à ne pas faire attention à soi.
Au contraire, il faut s’écouter, lire entre les lignes, trouver ce qui nous fait du bien. L’esthétique en fait aussi partie. Un grand merci à La Canopée !